J'ai apporté la batterie de ma moto chez le garagiste du coin. Je lui ai demandé de mettre le liquide à niveau et de placer la batterie sur la charge. Deux heures plus tard, je suis passé reprendre la batterie. Combien je vous dois? Il me réponds:« 36 sous ». Je lui ai donné un dollar.
Je suis revenu à la maison en souriant, non pas parce que le prix était bas mais bien parce que lorsque ce jeune garagiste de la ville de Solo m'a remis la monnaie, il m'a dit un merci en Javanais avec u sourire typiquement Javanais. — in Surakarta.
Je suis revenu à la maison en souriant, non pas parce que le prix était bas mais bien parce que lorsque ce jeune garagiste de la ville de Solo m'a remis la monnaie, il m'a dit un merci en Javanais avec u sourire typiquement Javanais. — in Surakarta.
Un enfant demande au pilote de l’avion : « comment faites-vous pour conduire la nuit? «. Le pilote répond : « Tu vois la lumière au bout de l’aile droite et la lumière au bout de l’aile gauche. Eh bien, je conduis entre les deux.»
C’est un peu la même question que j’aimerais poser au capitaine du traversier entre les l’îles de Java et Bali : «Comment faites-vous pour vous savoir la direction qu’il faut prendre?». Il me répondra, avec le sourire : « Je suis la flèche qui est devant.»
C’est un peu la même question que j’aimerais poser au capitaine du traversier entre les l’îles de Java et Bali : «Comment faites-vous pour vous savoir la direction qu’il faut prendre?». Il me répondra, avec le sourire : « Je suis la flèche qui est devant.»
Pour moi, voyager à Bali, c’est devenir un spectateur d’un film.
Le weekend end dernier, je déambulais sur le boardwalk qui longe le bord de mer à Sanur.
La plage de Sanur est souvent bondée «d’adorateurs du soleil» relaxant sur des chaises longues. Mais il y a un carré de sable qui est coincé entre les terrasses de deux restaurant où aucune chaise longue n’est installée. Ce lieu est situé juste en face d’un temple Balinais. Lorsque j’ai saisi cette scène de «prière du soir», la musique du gamelan et les incantations en sanskrit du prêtre se confondaient avec la voix nasillarde du chansonnier du «Beach Café» qui entonnait «Hotel California».
Le weekend end dernier, je déambulais sur le boardwalk qui longe le bord de mer à Sanur.
La plage de Sanur est souvent bondée «d’adorateurs du soleil» relaxant sur des chaises longues. Mais il y a un carré de sable qui est coincé entre les terrasses de deux restaurant où aucune chaise longue n’est installée. Ce lieu est situé juste en face d’un temple Balinais. Lorsque j’ai saisi cette scène de «prière du soir», la musique du gamelan et les incantations en sanskrit du prêtre se confondaient avec la voix nasillarde du chansonnier du «Beach Café» qui entonnait «Hotel California».
La table est mise.
Dans une pièce attenante à la cuisine, Monsieur Suhono, le père de Andan, a dressé une petite table de fortune. Il y a posé un bol de riz, des morceaux de poulets, une coupe contenant le bumbu , cette sauce maison faite d’ail, d’oignions, de chili et d’épices indonésiennes et, sur des feuilles de bananier, il a déposé une variété de fruit. La flamme provenant carré d’encens donnait un air de fête à ce repas frugal et conférait à cette scène un aspect mystérieux et magique, spirituel même. Cette «table mise» était pour la mère de Monsieur Suhono pour commémorer les 1000 jours d’anniversaire de sa mort. Hier les hommes du voisinage ont «sacrifié» deux chèvres. Aujourd’hui les femmes du village sont arrivées à 5 heures du matin pour cuisiner. Durant toute la journée : « ça rentrait, ça sortait, ça jasait, ça cuisinait, ça lavait, ça essuyait, ça riait, ça priait, ça arrivait, ça mangeait, et ça repartait.» À un certain moment, j’ai cru entendre quelqu’un «caller un set carré». Je suis presque certain que la voix provenait de la pièce attenante à la cuisine.
Voici le menu Javanais qui a été offert à plus de150 personnes.
Repas principal : Sayur lodeh, sup ayam, Asem asem, tempe mendoan, kerupuk udang, kerupuk Gunung, sambel goreng, sayur Lombok, oseng-oseng bihun, oseng-oseng tempe and long bean, tempe goreng ayam rica-rica, ayam ingkung, gulai kambing, rendang sapi
Menu snack: Lemper, carang gesing, mendut, lumpia, orange, nogosari, boil peanut, water melon, cup cake, crispy tempe, pisang goreng, agar agar, tape( rice fermentation) & teh panas
Dans une pièce attenante à la cuisine, Monsieur Suhono, le père de Andan, a dressé une petite table de fortune. Il y a posé un bol de riz, des morceaux de poulets, une coupe contenant le bumbu , cette sauce maison faite d’ail, d’oignions, de chili et d’épices indonésiennes et, sur des feuilles de bananier, il a déposé une variété de fruit. La flamme provenant carré d’encens donnait un air de fête à ce repas frugal et conférait à cette scène un aspect mystérieux et magique, spirituel même. Cette «table mise» était pour la mère de Monsieur Suhono pour commémorer les 1000 jours d’anniversaire de sa mort. Hier les hommes du voisinage ont «sacrifié» deux chèvres. Aujourd’hui les femmes du village sont arrivées à 5 heures du matin pour cuisiner. Durant toute la journée : « ça rentrait, ça sortait, ça jasait, ça cuisinait, ça lavait, ça essuyait, ça riait, ça priait, ça arrivait, ça mangeait, et ça repartait.» À un certain moment, j’ai cru entendre quelqu’un «caller un set carré». Je suis presque certain que la voix provenait de la pièce attenante à la cuisine.
Voici le menu Javanais qui a été offert à plus de150 personnes.
Repas principal : Sayur lodeh, sup ayam, Asem asem, tempe mendoan, kerupuk udang, kerupuk Gunung, sambel goreng, sayur Lombok, oseng-oseng bihun, oseng-oseng tempe and long bean, tempe goreng ayam rica-rica, ayam ingkung, gulai kambing, rendang sapi
Menu snack: Lemper, carang gesing, mendut, lumpia, orange, nogosari, boil peanut, water melon, cup cake, crispy tempe, pisang goreng, agar agar, tape( rice fermentation) & teh panas