It is sometimes frustrating for a photographer who enjoys traveling to stay at home. When this happens, I become a traveller in the city I live in. I ride my bike through the back lanes of Solo, Java, till I find a restaurant with comfortable chairs and beautiful light. I order a ginger coffee and open a book; I then become an armchair traveller. | Il est parfois frustrant pour un photographe qui aime voyager de rester à la maison. Lorsque cela se produit, je voyage dans la ville où je vis. Je fais du vélo à travers les ruelles de Solo, Java, jusqu'à ce que je trouve un restaurant avec des chaises confortables et une belle lumière. Je commande un café avec du gingembre et j’ouvre un livre; Je deviens alors un voyageur «sur-place». |
Today I read a chapter of Pico Iyer’s book : «Sun after dark». Mr. Iyer, who is one of my favorite travel writers describes Tibet. His description, unlike the ones you find in most guide books tell of the Tibet inside him and the Tibet we carry within ourselves. Here is what he says about this Chinese occupied Country: «…Then I thought back to a shaven-headed young monk, eyes closed, utterly unmoved by everything around him, and I wondered if the «real Tibet» could ever be destroyed, insofar as it is something, for resident, exile, and visitor, that lives mostly in a place that can’t be seen.» I do hope to visit Tibet one day. I will try and ignore the karaoke and the strip bars, the electronic shops and the busloads of tourists as I make my way to the Potala. | Aujourd'hui, je lisais un chapitre du livre de Pico Iyer: «Sun after dark». M. Iyer, qui est un de mes écrivains de voyage préférés, y décrit Tibet. Sa description, contrairement à celles que vous trouverez dans la plupart des guides parle du Tibet à l'intérieur de lui et du Tibet que nous portons en nous-mêmes. Voici ce qu'il dit à propos de ce pays occupé par la Chine: «... Alors, je repensais à un jeune moine au crâne rasé, les yeux fermés, totalement insensible à tout autour de lui, et je me demandais si le« Tibet réel » ne pourrait jamais être détruit, dans la mesure où il y a quelque chose, pour les résidents, l'exilé et le visiteur, qui vivent la plupart du temps dans un endroit qui ne peut pas être vu…» J’espère un jour me rendre au Tibet. Je vais essayer d’ignorer les karaokés et les bars de danseuses, les magasins d'électronique et les cars de touristes en marchant vers le Potala. |
I will soon read another book of Mr. Iyer: THE MAN WITHIN MY HEAD. | .Je débuterai bientôt la lecture du nouveau livre de M. Iyer: THE MAN WITHIN MY HEAD. |
"Iyer is an absorbing writer. His gift lies in his ability to break through the sensory overload of an alien place, where the scents and sights can overwhelm those unused to them. | |